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jeudi 28 février 2013

Comment sortir de l'Europe sans sortir de table de Jean-Luc Mordoh



Résumé :

Une pièce de théâtre en 11 actes qui nous immerge dans l’intimité d’un couple passionné de politique et féru de bonnes tables.
Dans un langage décalé et fleuri, Ginette et Gérard démontrent, dans une implacable logique de bon sens, que les réalités contractuelles de la Constitution européenne appliquent cliniquement le contraire de ce que nos gouvernements nous promettent. 
Un essai apolitique où le peuple et sa vérité transgressive dénudent sans pudeur le langage formaté du politicien.
Un livre qui nous rappelle qu'être Français, c'est être libre d’aimer le camembert.




Mon avis :

C’est l’auteur qui m’a contacté et qui m’a proposé de lire son livre. Je ne connaissais pas l’auteur ni le livre, juste un peu la maison d’édition. J’ai dis oui car j’étais intriguée par le titre et le résumé de ce livre.
Merci à l’auteur et la maison d’édition La Bourdonnaye pour cette lecture.
La couverture est très parlante et nous mets dans le bain dès le début. Elle correspond très bien au livre.
La lecture était très intéressante mais je n’ai pas eu l’impression de lire une pièce de théâtre. Ce livre ouvre pas mal les yeux sur ce que l’on ne nous dit pas.
Etant donné que je suis un peu au courant de ce genre de chose, plus ou moins rien ne m’a étonné. Il y avait pas mal de choses que je savais déjà (les fonds de pension américain, l’huile de vidange dans la mayo et non retiré de la vente par l’Europe, …).
On se rend bien compte qu’on est manipulé pour tout et qu’il n’y a qu’une seule volonté possible c’est celle de l’Europe. La France n’a pas vraiment son mot à dire concernant la gestion du pays. Et c’est bien malheureux.
Je ne suis pas d’accord sur tout notamment en ce qui concerne l’agriculture. C’est certain, on nous impose les OGM, la mécanisation à outrance, l’utilisation des pesticides et autres produits chimiques.
Cependant, concernant leur revenu, il faut quand même préciser une chose. Certes, les industriels font baisser au maximum leur prix d’achat aux exploitants et que le prix du marché n’est pas forcément très élevé mais il faut penser que les exploitants reçoivent des aides. Je suis d’accord que ça ne couvre pas leur frais (souvent imposés par l’Europe comme la mise aux normes) mais ça aide quand même. Ils y a des exploitants qui vendent au prix du marché et qui eux n’ont pas d’aides.
L’auteur a un style percutant, très imagé et bourré de comparaisons très parlantes. Elles m’ont même parfois fait rire ces comparaisons. Les informations sont bien amenées et claires.
Les surnoms que les deux personnages se donnent sont sympathiques et donne une petite touche d’humour comme ma fourchette d’amour, mon rambo, mon marsouin d’amour et j’en passe et des meilleures.
On sent bien qu’on est avec des français : l’homme : le foot, rugby, … ; la femme qui cuisine des repas super riches. Les desserts pour la plupart m’ont donné envie mais pas les plats (trop de viande ou de poisson). On est d’accord que ce n’est pas le sujet principal du livre mais quand même. Ils ont aussi une bonne descente car à deux se boire parfois deux bouteilles de vin, c’est pas mal.
J’avoue quand même que la répétition de ces scènes qui sur la forme se ressemblent toutes est au bout d’un moment lassant. Il n’y a plus de découverte, c’est un peu dommage.
De même que lorsque Gérard s’emballe et que Ginette le reprend, c’est toujours écrit de la même façon et ça devient donc répétitif.
Je repéré quelques mots manquant, espaces maquant et fautes mais pas de là à gêner ma lecture.
Ce livre a été un bon moment de lecture quand même, malgré quelques petits défauts. Le plus important étant surtout ce que l’on y apprend sur l’Europe. Et rien que pour ça, il est à découvrir.

                                                             
Éditeur : La Bourdonnaye
Date de parution : 23 octobre 2012
ISBN : 9782824201054
Prix : 4,99 €
120 pages


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Une pièce de théâtre en 11 actes qui nous immerge dans l’intimité d’un couple passionné de politique et féru de bonnes tables.
Dans un langage décalé et fleuri, Ginette et Gérard démontrent, dans une implacable logique de bon sens, que les réalités contractuelles de la Constitution européenne appliquent cliniquement le contraire de ce que nos gouvernements nous promettent. 
Un essai apolitique où le peuple et sa vérité transgressive dénudent sans pudeur le langage formaté du politicien.
Un livre qui nous rappelle qu'être Français, c'est être libre d’aimer le camembert.




Mon avis :

C’est l’auteur qui m’a contacté et qui m’a proposé de lire son livre. Je ne connaissais pas l’auteur ni le livre, juste un peu la maison d’édition. J’ai dis oui car j’étais intriguée par le titre et le résumé de ce livre.
Merci à l’auteur et la maison d’édition La Bourdonnaye pour cette lecture.
La couverture est très parlante et nous mets dans le bain dès le début. Elle correspond très bien au livre.
La lecture était très intéressante mais je n’ai pas eu l’impression de lire une pièce de théâtre. Ce livre ouvre pas mal les yeux sur ce que l’on ne nous dit pas.
Etant donné que je suis un peu au courant de ce genre de chose, plus ou moins rien ne m’a étonné. Il y avait pas mal de choses que je savais déjà (les fonds de pension américain, l’huile de vidange dans la mayo et non retiré de la vente par l’Europe, …).
On se rend bien compte qu’on est manipulé pour tout et qu’il n’y a qu’une seule volonté possible c’est celle de l’Europe. La France n’a pas vraiment son mot à dire concernant la gestion du pays. Et c’est bien malheureux.
Je ne suis pas d’accord sur tout notamment en ce qui concerne l’agriculture. C’est certain, on nous impose les OGM, la mécanisation à outrance, l’utilisation des pesticides et autres produits chimiques.
Cependant, concernant leur revenu, il faut quand même préciser une chose. Certes, les industriels font baisser au maximum leur prix d’achat aux exploitants et que le prix du marché n’est pas forcément très élevé mais il faut penser que les exploitants reçoivent des aides. Je suis d’accord que ça ne couvre pas leur frais (souvent imposés par l’Europe comme la mise aux normes) mais ça aide quand même. Ils y a des exploitants qui vendent au prix du marché et qui eux n’ont pas d’aides.
L’auteur a un style percutant, très imagé et bourré de comparaisons très parlantes. Elles m’ont même parfois fait rire ces comparaisons. Les informations sont bien amenées et claires.
Les surnoms que les deux personnages se donnent sont sympathiques et donne une petite touche d’humour comme ma fourchette d’amour, mon rambo, mon marsouin d’amour et j’en passe et des meilleures.
On sent bien qu’on est avec des français : l’homme : le foot, rugby, … ; la femme qui cuisine des repas super riches. Les desserts pour la plupart m’ont donné envie mais pas les plats (trop de viande ou de poisson). On est d’accord que ce n’est pas le sujet principal du livre mais quand même. Ils ont aussi une bonne descente car à deux se boire parfois deux bouteilles de vin, c’est pas mal.
J’avoue quand même que la répétition de ces scènes qui sur la forme se ressemblent toutes est au bout d’un moment lassant. Il n’y a plus de découverte, c’est un peu dommage.
De même que lorsque Gérard s’emballe et que Ginette le reprend, c’est toujours écrit de la même façon et ça devient donc répétitif.
Je repéré quelques mots manquant, espaces maquant et fautes mais pas de là à gêner ma lecture.
Ce livre a été un bon moment de lecture quand même, malgré quelques petits défauts. Le plus important étant surtout ce que l’on y apprend sur l’Europe. Et rien que pour ça, il est à découvrir.

                                                             
Éditeur : La Bourdonnaye
Date de parution : 23 octobre 2012
ISBN : 9782824201054
Prix : 4,99 €
120 pages


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