Le hobby d'Arte,
jeune fille aristocrate, à toujours été de dessiner et peindre. Une activité
que son père à toujours encouragé et que ça mère à toujours dénié. Lorsque son
père vint à décéder subitement, sa mère lui ordonne d'arrêter ses activités
futiles. Arte repousse alors sa mère et se met un quête d'un atelier ou elle
pourrait pratiquer sans peine et sans avoir ce sentiment de discrimination.
Porter par son amour de l'art, Arte, au tempérament toujours optimiste, quitte
ainsi l'aristocratie et entre dans la vraie vie difficile des artistes.
Ça
fait un moment que je vois passer de bons avis sur ce manga sur différentes
chaines et blogs. Hier, à la Japan expo, je me suis dis que c’était l’occasion
de le prendre. Et j’en ai même profité pour prendre le second tome car je ne
prenais pas trop de risque vu l’histoire du manga. Il m’a suffit de voir
Florence, 16ème siècle et peinture dans le résumé pour savoir que ça
allait me plaire.
J’avoue
que j’aime beaucoup la couverture de ce premier tome. Le personnage d’Arte y
est bien représenté et on reconnaît bien Florence en fond. De même, sur la 4ème
de couverture, on voit bien qu’on se trouve à Florence. C’est encore plus
parlant pour moi que j’y suis allée l’été dernier.
Après
lecture, c’est effectivement ce que je pensais. J’ai aimé ce manga mais j’avoue
qu’il y a tout de même des petites choses qui m’ont dérangé.
C’est
surtout au niveau du vocabulaire. Je ne demande pas à ce que le manga soit écrit
comme on parlait à l’époque mais certains termes m’ont paru totalement décalés
par rapport à ce que présente le manga. Quand elle parle de « piaf »
pour un oiseau, je ne sais pas mais ça ne me plait pas. Y’a un autre terme dont
je ne me rappelle pas qui m’a aussi interpellée. C’est un peu dommage.
Ensuite,
j’ai eu un peu peur au début du second chapitre quand j’ai lu un résumé du
premier. Je me suis dis si c’est ça à chaque fois, ça va pas le faire. Finalement
ça va mais je n’ai pas compris l’intérêt de ce résumé. Il n’y a pas assez de
pages pour qu’on ait oublié à ce point ce qu’il s’est passé dans le premier
chapitre et globalement le manga ne fait pas 1000 pages non plus donc je me
pose la question de pourquoi ?
Bref,
c’est un détail parce que j’ai vraiment bien aimé ce manga. Les dessins sont
sympathiques et assez bien travaillé.
J’ai
bien accroché avec les personnages d’Arte et de Léo. Pour une femme au 16ème
siècle, elle n’a pas sa langue dans sa poche et elle est déterminée à faire ce
qu’elle veut, c’est-à-dire peindre.
« L’histoire
d’amour » est mignonne bien que pour le moment on ne puisse pas vraiment
parler d’histoire d’amour. Ça changera peut-être dans les tomes suivants.
Je
suis assez intriguée par le personnage de la courtisane. A voir à quel jeu elle
va jouer dans cette histoire.
J’ai
passé un bon moment de lecture avec ce manga. J’ai hâte de lire la suite pour
savoir ce qu’il va se passer, ça tombe bien j’ai le second tome sous la main. Par
contre, il faudra que je regarde pour le tome 3 (s’il est sorti). J’espère que
ce n’est pas non plus une série à rallonge avec 20 ou 30 tomes …
Editeur : Komikku
Série : Arte
Date de parution : 26 août 2015
ISBN : 9782372870436
Prix : 7.90 €
208 pages
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire